Bien requinquée par la Mozart-Torte, je me suis hâtée vers le Pavillon de la Sécession,
L'extérieur est à la fois sobre et élégant.
En revanche, l'intérieur est très décevant. Un maquette montre la structure du bâtiment dont quelques pièces nues sont dédiées à des expositions temporaires d'art contemporain.
pour l'exposition en hommage à Ludwig van Beethoven. Elle accueillait les visiteurs directement dans le hall d'entrée sur 34 mètres de large par 2 mètres de haut.
Les quelques portions sauvegardées sont malheureusement placées très en hauteur et il n'est pas permis de les photographier.
En revanche, une copie à l'identique d'un des panneaux est disposée à l'entrée de la salle pour observer la technique employée :
Un peu agacée d'avoir été siphonnée de 10 euros pour si peu, je m'aperçois de plus que j'ai mal géré mon parcours car le soir tombe : j'aurais dû commencer par les façades des Wienzeilerhäuser et la station de métro conçues par l'architecte Otto Wagner en 1899.
J'arrive in extremis pour en prendre des images déjà trop sombres...
Je parviens aussi à prendre la mignonne enseigne du marché mitoyen :
Je rassemble mes dernières forces pour rejoindre le Pavillon Otto Wagner... dont je découvre qu'il n'est ouvert que de mai à octobre.
Le dimanche a été chargé et je retourne presque titubante à l'hôtel, espérant reprendre assez de forces pour visiter le lendemain un sacré morceau : le Rathaus.