Nous vivons une tragédie économique, Mesdames et Messieurs !
Selon Plus-Model, en 1990, une mannequin pesait environ 8 % de moins que la moyenne des femmes ciblées. Aujourd'hui, la différence est de 23 %, soit pratiquement un quart de moins que le poids d'une consommatrice moyenne.
Certes, des femmes naturellement maigres facilitent la tâche de couturiers mâles qui ne savent pas ce que sont une paire de nichons généreux et des fesses dodues. Toutefois, pour bien des mannequins, l'indice de masse corporelle révèle un état de malnutrition qui en a mené plus d'une à la mort.
Vous imaginez l'impact sur le commerce ? C'est abominable !
Si les victimes de la mode décérébrées persistent à s'affamer pour ressembler à des porte-manteaux plutôt que de réclamer des vêtements appropriés, le marché de la mode va se restreindre à vue d'oeil....
Le temps de mettre les collections en rayon et hop ! une partie de la clientèle sera déjà clamcée, morte de faim au 21e siècle en pleine société de consommation.
A ce train-là, on va bientôt parler de société de consomption...
Ces femmes portent atteinte à la croissance économique : elles ne mangent rien, elles s'habillent dans un mètre de tissu et bientôt, on pourra les enterrer à deux par cercueil.
C'est honteux et j'estime qu'on doit appliquer aux maigrichonnes maladives une taxe de compensation versée aux honnêtes femmes qui contribuent à faire prospérer les affaires, en mordant la vie à pleines dents.