Personnellement, je n'aime pas les gens ordinaires : c'est banal et peu distrayant.
Mais les voir transformés de leur vivant en zombies décérébrés ou en épaves sans logis, ça me gâche le paysage et ça m'amuse encore moins.
Les gens ordinaires qui souffrent, ça manque totalement de classe.
De fait, j'aime à penser qu'un peu de l'argent que m'extorque l'Etat échappe aux dépenses somptuaires d'une caste mégalomane au profit de l'amélioration de mon environnement.
Au coeur du complot salvateur, il y a les AS, une secte étrange qui ne se laisse pas abattre, des combattants du quotidien qui, sans gloire et sans moyens, sont le dernier rempart contre
l'anéantissement.
AS comme Assistant/e Social/e
Leur quotidien, ce sont les gens ordinaires. Pas les super-héros, pas les trapézistes argentins, pas les danseurs mondains ; uniquement les gens ordinaires.
Aussi fou que ça puisse paraître, les AS gèrent le chaos et parviennent à en rire, même quand ils en ont le coeur gros. Pour en avoir la preuve, lisez donc, ce
témoignage paru chez Fleuve Noir :
Les AS sont tout sauf des gens ordinaires.