J'ai un fantasme, un beau, un vrai : le trapéziste argentin.
Il entre sur la piste et là, debout dans un cercle de lumière, il tourne sa belle tête brune vers le public, levant le bras en un geste triomphant.
Il a quelque chose de Valentino et dans le regard un air qu'on imagine aux danseurs de tango.
Ses jambes sont puissantes, le torse est nu pour montrer la taille souple et le dessin des muscles.
Un geste imperceptible et la cape tombe à ses pieds. Il saisit la corde qui le hisse, fier et droit, jusqu'au sommet du chapiteau où il évoluera, émouvant mélange de grâce et de force.
Quand, ayant tout donné, il se pose enfin pour saluer... il se passe tout un tas de trucs brûlants que je ne peux pas raconter ici (*)
(*) si vous êtes un trapéziste argentin, contactez-moi, je vous expliquerai.