L'unique artiste moderne dont Calouste Gulbenkian devint le client et l'ami fut René Lalique, dont il acquit le fameux pectoral à la libellule (vers 1897-1898), chef-d'œuvre très admiré à l'Exposition universelle de 1900, qu'il prêta à la tragédienne Sarah Bernhardt.
Dans ce contexte, il n'est pas étonnant qu'une salle soit entièrement consacrée à l'artiste, avec essentiellement des parures féminines et quelques objets.
Curieusement, la figure du serpent est très présente, ce que j'ignorais jusque là.
La visite fut intense et je suis ravie qu'il y ait du soleil car je peux faire une pause en terrasse de la cafétéria avant d'aborder la Collection Moderne, située de l'autre côté du grand jardin.