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Baronne Samedi

Broutilles paraissant le crésudi

Yerevan, le 18 avril

Publié le 18 Avril 2014 par Baronne Samedi in Arménie 2014

Après avoir bien paressé au petit déjeuner, j'ai décidé d'aller faire la visite du département Tapis du Musée d'Histoire, cette fois accompagnée d'un guide spécialisé car il y a beaucoup de symboles dans les motifs.

La ville est en chantier : les bâtiments d'un luxe outrageux alternent avec les vestiges déliquescents d'une ville qui gardait un air de jardin.

Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avrilYerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avrilYerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Devant le Musée d'HistoireDevant le Musée d'Histoire

Devant le Musée d'Histoire

Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avrilYerevan, le 18 avril

La déception est de taille : en préparation de la conférence mondiale sur les tapis, la collection est en cours de nettoyage et réorganisation...

Je me résigne à continuer la balade jusqu'à une boutique qui offre des pièces d'artisanat haut de gamme mais je découvre qu'elle est fermée et que le pâté entier est muré, sans doute pour laisser place à quelque restaurant de luxe.

Douloureuse aussi la découverte que le petit troquet avec sa jolie terrasse qui servait sans chichis des spécialités locales  a été remplacé par un ignoble fast-food-burger-pizza.

Je m'éloigne vite car l'amertume me pèse autant que la chaleur.

Yerevan, le 18 avril
Le mot STOP sur les passages pour piétons est récent mais il doit sauver la vie à des milliers de touristes pensant naïvement qu'ils sont prioritaires sur les avenues...

Le mot STOP sur les passages pour piétons est récent mais il doit sauver la vie à des milliers de touristes pensant naïvement qu'ils sont prioritaires sur les avenues...

Ceci démontre qu'il doit y avoir du tourisme suicidaire, en plus du tourisme culturel.

Ceci démontre qu'il doit y avoir du tourisme suicidaire, en plus du tourisme culturel.

Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril
Yerevan, le 18 avril

Au final, je me contente de prendre un "khatchapouri" dans un kiosque, tout chaud sorti du four. C'est le nom géorgien d'un chausson garni.  Les Arméniens de l'ouest appelle ça un "beureg".

 

Il y en a de toutes sortes et toutes formes, avec des pâtes différentes et des fourrages divers (fromage, oeuf,  herbes, viande voire pomme de terre). Le mien est tout simplement au fromage mais succulent.

Yerevan, le 18 avril

J'achète plus loin des cartes postales et m'arrête à l'épicerie à côté de l'auberge pour de l'eau et du tan, histoire de me requinquer avant la soirée dont le programme reste à  confirmer.

 

Yerevan, le 18 avril
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A
Aucune explication sur ce boulodrome ? Je ne l'ai pas découvert... apsos !
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B
Il y a sur le panneau le logo de la marque de "կոնյակ" Ararat (depuis renommée "Yerevan Brandy Company") filiale depuis 1998 du groupe PernodRicard, avec comme président Pierre Larretche venu de France : il a dû avoir un coup de nostalgie !